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Notre ligne d'écoute cavaoupas

Essayer de comprendre

Je suis en deuil

Mieux comprendre pour déculpabiliser

Certains psychiatres disent qu’il est impossible de se séparer du sentiment de culpabilité après le suicide de son enfant.

Heureusement certains parents d’enfants suicidés nous prouvent le contraire.

Il y a un travail à faire, un important travail de compréhension, de compréhension du suicide et du travail du deuil.
Peut-être avez-vous pensé en lisant ce titre, qu’il s’agissait de mieux comprendre le geste de votre enfant ?
Et notamment de se poser la question de « Pourquoi ? »

En fait il ne s’agit justement pas de cela.  Se poser la question de Pourquoi, c’est une manière de se sentir, soit victime, soit coupable, et de le rester car aucune réponse n’est possible ou seulement satisfaisante. Il est très difficile de faire le deuil d’un enfant : certains parents le refusent comme si c’était pour eux le seul moyen d’échapper à leur sentiment de culpabilité. En fait, au contraire, ils se mettent ainsi dans une souffrance psychique qui les empêche d’être « bien portant », et nourrit au contraire leur culpabilité.

Il est bon de prendre conscience que la méconnaissance du deuil, un rejet donc, ce qui induit la non acceptation de la mort, rajoute une souffrance supplémentaire inutile.

Qu’y a-t-il donc à mieux comprendre pour déculpabiliser ?

  • Comprendre qu’il faut accepter de ne pas trouver des réponses à toutes les questions que le geste de notre enfant nous pose.
  • Comprendre que nous n’avons pas la toute-puissance sur la vie de nos enfants, et que celle-ci leur appartient.
  • Comprendre que nous n’avons pas donné la Vie, mais que nous l’avons seulement transmise, et que nous n’en sommes pas propriétaires.
  • Comprendre que si nous ne pouvons comprendre ou accepter le geste de notre enfant, nous devons accepter leur mort.
  • Comprendre que la culpabilité ne peut exister s’il n’y a pas intention. Or, quel parent peut-il dire qu’il avait l’intention, même inconsciente de tuer son enfant…
  • Comprendre que nous avons toujours fait du mieux que nous pouvions…


Et, enfin, comprendre aussi que nous devons nous affranchir du jugement social, que nous nous sentons coupables parce nous ne nous sentons pas à la hauteur de ce que la société exige de nous…

Je suis en deuil

Le deuil après le suicide

Le mot « deuil » vient du verbe latin « dolore » qui signifie « s’affliger ».

Faire son deuil, c’est donc surmonter son affliction.

Pour comprendre le processus de deuil, il faut avoir présent à l’esprit que l’être humain est un être d’attachement. Sans attachement, pas de possibilité de vie. Et les liens que nous créons avec les individus de notre entourage ont une force variable selon l’intensité affective. 

La vie est une succession d’attachements et de séparations, de naissances et de morts. La mort s’y inscrit donc naturellement. Mais le deuil après le suicide d’un parent, d’un conjoint, d’un ami est un deuil à part. Plus encore, le suicide d’un enfant –de son enfant, celui à qui on a donné la vie- est une réalité inconcevable et constitue une épreuve particulièrement douloureuse.

Suicide, un deuil particulier

Dans notre société, le déni de souffrance et de mort peut avoir une influence sur le déroulement du processus de deuil. Certaines personnes endeuillées peuvent aller jusqu’à dissimuler leur chagrin et donner le change pour ne pas évoquer leur deuil vécu dans la solitude et peut-être aussi ne pas prononcer le mot suicide qui reste empreint d’un tabou tenace.

Lorsque  l’on est frappé par le suicide d’un proche, le cheminement dans le deuil est souvent très long,  interminable, en raison des nombreux paramètres qui le conditionnent : la profondeur de l’attachement, les circonstances qu’elles soient traumatisantes ou non, le soutien que l’on reçoit de son entourage, sa propre histoire faite de deuils traversés douloureusement ou non.

Pour autant, faire son deuil, ce n’est pas « tourner la page », c’est parvenir à admettre la mort de l’être cher, tout en intégrant au plus profond de soi sa présence intime..

Tous les proches du disparu sont concernés après un suicide, que ce soit dans le milieu familial ou social. Ils sont tous dans l’obligation de faire face à ce deuil singulier qui comprend plusieurs étapes. Les connaître est indispensable pour ne pas se sentir « anormal » et ne pas craindre sa douleur.

Néanmoins, chacun réagit à sa manière en fonction des circonstances, de sa propre histoire, de ses liens avec le disparu.

Le choc, la sidération :  C’est un état de non perception de la réalité, une protection psychique de mise à distance pour une émotion insoutenable, insupportable. La sidération survient essentiellement lorsqu’il y a mort violente et c’est le cas avec le suicide. La personne est sidérée, hébétée,anesthésiée, comme en fonctionnement automatique.

Phase de fuite et de recherche : Période de souffrance intense qui engendre une certaine agitation. La sensibilité est à ce moment-là exacerbée et amène à une recherche de souvenirs (odeurs, photos, aperçus de silhouettes, sensation de présence, etc.). Le temps de l’ « anesthésie », mécanisme de protection, semble disparaître comme une parenthèse qui se referme. C’est en même temps l’impression de perdre l’être cher une deuxième fois. C’est une période de pleurs, de recherche de sens, de spiritualité, de remise en question de ses convictions, de ses croyances.

Phase de déstructuration, de désorganisation et de vécu dépressif :  Après plusieurs mois, arrivent la réalité de l’absence, la prise de conscience intime de la perte. Le sentiment de douleur s’amplifie et le manque se fait plus durement sentir. L’absent(e) continue d’occuper l’esprit de façon obsessionnelle. C’est une phase de déstructuration qui peut durer entre 2 et 3 ans. De nombreux sentiments se bousculent : culpabilité, honte, colère, abandon, impuissance.

Phase de restructuration et de réorganisation : Après plusieurs années, nous élaborons de nouvelles relations avec la personne disparue, également avec les autres et avec soi-même. Nous avons pris conscience que nous ne serons plus jamais le (la) même. Il y a un « avant » et un « après ». A ce stade, l’idée de prendre soin de soi réapparaît et devient possible.  La réorganisation consiste à accepter d’autres attachements, à s’adapter à de nouveaux rôles.

Le deuil est un processus qui se vit dans la solitude, mais qui demande à être accompagné. Nous avons besoin des autres : les amis, la famille, les proches. Ce sont eux qui constituent le réseau de soutien qui nous aide à « tenir ». Le processus de deuil passe également par de nécessaires moments de retrait qui peuvent prendre des formes diverses : marche dans la nature, écriture, lecture, musique, méditation, prière. Avancer dans le deuil, c’est accepter la réalité du décès tout en préservant le lien avec l’être disparu. C’est également réinvestir le monde extérieur et savoir se faire aider. C’est la voie de la reconstruction.

Comme tout processus naturel, le parcours du deuil peut comporter des dérives.
Certaines peuvent modifier ce parcours de façon plus ou moins grave.

Le deuil difficile : C’est un deuil qui reste normal, quoique très douloureux et plus lent. C’est en ce sens qu’il apparaît difficile.

Le deuil compliqué : Le fonctionnement affectif, relationnel et professionnel de la personne est perturbé au-delà des délais habituels des différentes phases du processus « normal ». On observe des pensées envahissantes, des émotions intenses, un désarroi profond, des symptômes de détresse traumatique qui persistent au-delà de six mois et de possibles complications somatiques. La relation à l’autre en est fortement affectée.

Le deuil différé : Dans ce cas, il existe un temps de latence entre la disparition de l’être cher et le début du travail de deuil. Le déni initial de la mort correspond à une incapacité ou à un refus de reconnaître la réalité. La dépression consécutive au deuil  survient inévitablement, mais plus tard, après un délai plus ou moins important. Pour la personne en deuil comme pour les proches, le refus de la réalité et l’absence de dépression réactionnelle deviennent particulièrement difficiles.

Le deuil inhibé : Il correspond à l’absence des symptômes normaux du deuil.  De nombreux troubles somatiques apparaissent, en lieu et place des perturbations affectives non exprimées. Ce type de deuil s’observe principalement chez les personnes à faibles capacités psychiques d’expression comme les enfants.

Le deuil chronique : C’est le deuil sans fin, accompagné d’une dépression chronique, d’une fixation morbide sur le défunt, sans le réajustement nécessaire à une vie sans lui. Le stress post-traumatique qui n’a pas été traité entraine la persistance de l’effet traumatique responsable de l’installation de ce deuil.

Le deuil pathologique : C’est heureusement le plus rare. Il se manifeste principalement par l’apparition d’un ou de plusieurs troubles psychiatriques chez un individu parfois dépourvu d’antécédents psychiatriques.

La découverte, le constat, l’annonce du suicide sont une confrontation à la mort violente. Le processus de deuil est indéniablement lié aux circonstances qui entourent l’acte suicidaire et à l’importance du traumatisme émotionnel qu’elles ont suscité. 

C’est la quête du « pourquoi ?»

Quasiment aucun proche n’échappe à cette quête, c’est la recherche de signes précurseurs non perçus, non compris, la recherche d’un message, c’est vouloir rendre intelligible ce qui ne l’est pas. Cette quête peut être accompagnée de colère. C’est un cheminement vers l’acceptation de l’inacceptable. C’est aussi admettre de ne pas avoir toutes les réponses et qu’une part de mystère demeurera.

La culpabilité ou, plus précisément, le « sentiment » de culpabilité favorise l’émergence de remords et parfois d’autopunition ; « Je n’ai pas fait ce qu’il fallait, je n’ai rien vu venir, j’ai vu mais je n’ai pas su faire, je dois donc expier » «mon amour n’a servi à rien ». De cette perte de sens, il découle l’impression que les valeurs d’avant n’existent plus, que tout devient futile, comme un sentiment de disqualification. Chercher à comprendre les raisons du geste suicidaire aide à se déculpabiliser. Le risque dépressif consécutif justifie, à lui seul, un soutien psychologique professionnel.

Le partage avec d’autres parents endeuillés peut également aider, il permet de voir que d’autres cheminent, qu’il existe des survivants. 

A la question : « Vais-je m’en sortir ? », la réponse est « Oui ». Le chemin est escarpé, long, difficile, mais la souffrance finira par s’apaiser même si jamais elle ne disparaîtra.  Plus le travail réalisé sur soi-même après le drame est important, plus rapide sera le retour à un état psychologique acceptable et mieux les inévitables passages difficiles seront maîtrisés.

Quelle que soit la cause de la mort, celle d’un enfant demeure une blessure indélébile et un deuil difficile et long. Mais lorsqu’il s’agit d’un suicide, comme sans doute d’un assassinat, (le suicide est un meurtre de soi) l’impact est extrêmement bouleversant, déstabilisant et marquera définitivement l’entourage proche, particulièrement les parents et la fratrie. On peut dire que le deuil dure toute la vie, même si celui-ci se vit moins dans la douleur et l’intensité de la peine ressentie au fur et à mesure que les années passent.

Toute personne en deuil après suicide a besoin d’aide.  Celle-ci peut venir de la famille, des amis, des collègues, du monde des soignants, des associations. C’est une condition qu’il faut très vite faire sienne et à laquelle il faut adhérer pour éviter un deuil à complications.

L’entourage doit accepter de la personne endeuillée le besoin de parler de son enfant, de son chagrin, mais aussi le besoin de se taire, de pleurer, de s’activer ou de ne rien faire, jusqu’à parfois déstabiliser autrui par une attitude qui semble irrationnelle. Les proches peuvent aussi avoir besoin d’aide, comme tous les aidants qui, dans ce cas, sont souvent des membres de la famille, touchés eux aussi. La fierté ou la pudeur est à surmonter dans certains cas, en particulier pour les hommes généralement moins enclins que les femmes à exprimer leurs ressentis et à se faire aider.

Réactions normales après le suicide d’un proche :

Dès la découverte ou l’annonce du suicide d’un proche, le traumatisme émotionnel et l’anéantissement sont tels qu’ils dévastent la famille et les amis du défunt. Selon que l’on découvre soi-même le corps ou que l’annonce ait été faite par un tiers, l’impact est différent, mais il reste un choc terrible. Il est normal d’observer des réactions telles que : « je suis écrasé, anéanti par la douleur », « je ne comprends pas », « je ne peux pas y croire », « je suis révolté », « jamais je ne pourrai survivre ».

Ces réactions traduisent bien la surprise et l’incompréhension du geste suicidaire, auxquelles s’ajoutent un sentiment d’impuissance, de révolte. Ensuite peut s’exprimer également la peur mêlée de sentiments de culpabilité, de honte et de regrets. Tout dépend du regard des autres, du soutien ou non de l’entourage.

Après les premiers effondrements dus à ce séisme émotionnel, d’autres constatations ont lieu. Les parents confrontés au suicide d’un enfant qui a fait plusieurs tentatives ou qui était atteint d’une pathologie psychiatrique peuvent être amenés à prendre conscience de la souffrance qui l’habitait pour en arriver à cet acte. Ils peuvent alors penser secrètement « au moins, il (elle) ne souffre plus ». Parfois, l’état d’angoisse qui a pu être ressenti avant la disparition retombe. Il était dû au risque d’un passage à l’acte, tant redouté mais perçu comme inévitable, malgré la détection des signes d’alertes et malgré les soins psychologiques ou psychiatriques prodigués. Il s’ensuit un sentiment de soulagement, comme la mort après une longue maladie, dans ce cas, difficile à reconnaître devant les autres.

Viennent aussi des expressions et des sentiments personnels traduisant une non-acceptation de la disparition du suicidé : « il me manque », « je souffre tant », « personne ne peut me comprendre », « je ne pourrai plus jamais être heureux », « j’ai envie de le rejoindre ». Chacun à sa manière doit parcourir le chemin du deuil, toujours personnel et jalonné de difficultés.  Souvent le sentiment de culpabilité s’ajoute et persiste, envahissant ceux qui restent. La famille toute entière subit une onde de choc énorme et certains membres peuvent être traumatisés. Ils reçoivent de plein fouet cet évènement et leur personnalité même en sera transformée. Leur regard sur les autres, sur la vie en est complètement modifié. Comme pour les parents, il y a un « avant » et un « après ».

Le suicide d’un enfant constitue le deuil le plus difficile à faire non seulement par l’intensité de la douleur, mais aussi par l’inversion du sens naturel du temps et de la mort. Il est plus difficile que tout autre deuil dans la mesure où mourir d’une maladie, d’un accident, comporte toujours une explication rationnelle ou médicale qui peut favoriser l’acceptation. Les parents, les proches ont à vivre ensuite avec cette blessure profonde qu’ils auront à soigner pour ne pas être anéantis.  Le rôle parental devient particulièrement difficile à assumer vis-à-vis des autres enfants tant le sentiment d’échec est grand et tant l’impuissance est ressentie après un tel drame qui remet en question les valeurs et les principes fondamentaux de l’éducation et de l’existence. Les parents, la fratrie et les proches ont besoin d’être soutenus et entendus d’où la nécessité première d’apporter aide et soutien à ces familles pour atténuer la souffrance, souvent plus complexe et plus durable qu’après tout autre décès.

Le suicide est l’expression d’une violence extrême et la violence s’inscrit  toujours dans l’acte suicidaire. La découverte du corps et de la scène du suicide, qu’elle soit faite par un membre de la famille ou par un tiers, constitue pour tous un traumatisme émotionnel majeur qui peut être suivi d’une dépression post-traumatique ou de cauchemars récurrents.

L’annonce du suicide est également une violence qui peut être amplifiée par la description maladroite ou sans ménagement  des conditions et des circonstances de l’évènement, toujours dramatique.  Pour toutes ces raisons, le futur sera impacté de manière plus ou moins profonde et plus ou moins durable. La blessure, indélébile, pourra cependant être prise en charge, soignée et rendue moins douloureuse par un travail thérapeutique  et l’effet du temps.

L’enquête policière et l’autopsie souvent nécessaire du corps du suicidé, ont pour but de préciser les circonstances exactes de la mort. Les résultats permettent  à la famille de mieux comprendre le geste, de définir la cause de la mort, d’éliminer les doutes possibles et éventuellement d’écarter la culpabilité en constatant, par exemple, l’existence d’une pathologie ou de « conditions particulières favorisantes ».

Il est bon de rappeler que la fin d’une vie n’est pas la fin de la vie. La vie reste là.  Il faut maintenant accepter l’aide appropriée et efficace pour pouvoir continuer sa progression personnelle.

A l’association PHARE Enfants-Parents, les parents endeuillés par suicide ont la possibilité de se rencontrer. Des groupes de parole mensuels  rassemblent exclusivement des parents d’enfant suicidé. Ces groupes leur permettent de sortir d’une solitude dans le partage de la souffrance et de recevoir une aide et un soutien aussi longtemps qu’ils le désirent. L’association peut également rechercher la personne la mieux appropriée pour les aider, qu’il s’agisse ou non d’un spécialiste.

publications

Les ouvrages PHARE

Il représente le fruit d’un long travail de réflexion et d’écriture. Il offre des témoignages poignants mais aussi des messages, des poèmes, des souvenirs…

PRIX : 15 Euros. N’hésitez pas à passer votre commande auprès de l’association ou en utilisant le bon de commande.

GUIDE 

Ouvrage de 60 pages, « REPÈRES POUR UNE ATTITUDE ÉDUCATIVE » s’adresse à tous les parents, futurs parents et à tous ceux qui sont concernés par l’éducation des enfants.

Pas si simple d’être parent, pas si simple d’aider ses enfants à grandir dans un monde où des pressions s’exercent peut-être plus spécialement sur les plus jeunes, les plus fragiles.

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Volontairement simple, direct, vivant, sans complaisance mais sans rigidité, souriant dans sa présentation, il fixe des repères, suggère des comportements, ouvre des pistes et, tel un phare, signale les écueils à éviter.

Peut-être commandé directement auprès de l’association PHARE Enfants-Parents.

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GUIDE

Ce guide est spécialement conçu pour aider à repérer les signes de mal-être et savoir comment intervenir pour éviter le passage à des actes extrêmes pouvant aller jusqu’à l’autodestruction.

Aucune famille n’est à l’abri, qu’elle soit socialement favorisée ou défavorisée, qu’elle vive dans un climat relationnel harmonieux ou conflictuel, que le couple soit uni ou non. Les risques existent, il ne faut pas les ignorer.

Après un chapitre sur l’adolescence, telle qu’elle est vécue par l’adolescent, mais aussi par les parents, deux autres abordent les difficultés : « quand ça va mal » puis « quand ça va très mal ».

Un livre utile à tous, parents, éducateurs, enseignants.

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Dépliant pour les parents endeuillés

Peut-être commandé directement auprès de l’association PHARE Enfants-Parents (remis gracieusement jusqu’à 5 exemplaires).

Pour des quantités supérieures, consultez l’association.

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Thèmes :

  • Les risques sur la santé
  • Les narco-trafiquants
  • Les effets de dépendance
  • Les troubles du comportement

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Des lectures pour

Vous éclairer

Ados en vrille, mères en vrac, Xavier POMMEREAU – Albin Michel 2010

Adolescence et suicide, sous la direction de H. CAGLAR – Éditions
Sociales Françaises

Anti-suicide, Bernard RAQUIN et Véronique PECHIN – La Table Ronde

Ce vide immense, Claude LUZY – La Bruyère (le commander à PHARE
Enfants-Parents)

Ces enfants qui se suicident, WEISS Joël – Garancière

Ces morts qui vivent en nous, JANIN DEVILLARS – Fayard 2005

Étude psychopathologique des tentatives de suicide chez l’adolescent
et le jeune adulte, sous la direction de Philippe JEAMMET et d’Elizabeth BIROT – PUF 1994

Fatigué de ce monde, Pascale MORICE – Éditions du Jubilé 2002

Homosexualités et suicide, Eric VERDIER et Jean-Marie FIRDION – H&O
Éditions 2003

J’ai envie de rompre le silence, René VEYRE et Gérard VOULAUD – les
éditions de l’Atelier 2001

J’en ai marre, Hélène RISACHER – Poche

L’adolescent et la mort, Études sur la mort – L’esprit du Temps

L’adolescent suicidaire, « l’écouter, le comprendre, l’aimer » Xavier POMMEREAU – DUNOD 2003

L’Adolescence, Philippe JEAMMET – J’ai Lu

L’envol de Sarah « Ma fille : sa vie, son suicide Agnès FAVRE – Max Milo Témoignage

La France du suicide, Michel DEBOUT – Stock 2002

La prévention du suicide chez les jeunes de 15 à 24 ans – Éditions
décembre 1991 de l’Institut de l’Enfance et de la Famille

La souffrance suicidaire, Yves PRIGENT – EPI, Desclée de Brouwer

Le geste ultime, Essai sur l’énigme du suicide, SOREL VEDRINNE WEBER – PUL Lyon 2003

Le suicide, rapport moral de Michel DEBOUT du Conseil Économique et
Social publié en 1993 au Jo, 26, rue Desaix 75727 Paris cedex 15 – brochure 4227 ou publié aux Éditions Ellipses, Collection «Vivre et Comprendre »

Le suicide, Marie BARDET – Les essentiels, Milan Presse

Le suicide, Emile DURKHEIM – PUF

Le suicide, Laurent LESAGE – Bayard Éditions Centurion, coll. (C’est-à-dire???)

Le suicide, Pierre MORON – PUF, coll. Que sais-je ?

Le suicide, sous la direction de François TERRE – PUF

Le suicide, Presses Bibliques Universitaires

Le suicide, comment prévenir, comment intervenir, M. SEGUIN et P. HUON – Ed. Logiques

Le suicide de l’adolescent, Étude épidémiologique de F. DAVIDSON et M. CHOQUET – ESF

Le suicide des jeunes, PERRET-CAPITOVIC Maja, Éditions St-Augustin 2004

Le suicide et sa prévention, BATT-MOILLO & JOURDAIN – ENSP 2005

Les dossiers noirs du suicide, Denis LANGLOIS, Seuil, coll. Combats

Les jeunes suicidants à l’hôpital, M. CHOQUET et V. GRAMBOULAN, EDK (Editions médicales et scientifiques)

Les suicides, Jean BAECHLER, Calmann-Lévy 1975

Les suicides d’adolescents, Dr André HAÏM, Payot, Bibliothèque scientifique

Mourir à 10 ans, Claude COUDERC – Fixot

Ni anges, ni sauvages – Les jeunes et la violence, Patrice HUERRE – Poche

Pour nos ados, soyons adultes, Ph JEAMMET – Odile JACOB

Sandra tuée par internet, LAEMMEL M.C. et D., Sté des Ecrivains 

Suicide : des Issues de Secours, Bertrand VERFAILLIE Editions Buchet – Chastel

Suicide « l’envers de notre monde », Christian BAUDELOT – Roger ESTABLET Editions Seuil Suicide, modes de prévention, V.JANOUIN BENANTI, diffusé par DEQ

Tentatives de suicide à l’adolescence, colloque sur la santé des adolescents, 12-13-14 décembre 1988, édité par le Centre International de l’Enfance

Travaux cliniques et épidémiologiques sur les conduites suicidaires – GEPS, ouvrage collectif ordonné par Roger FRANC (Journées Thématiques de Psychiatrie n° 2)

Vivre le deuil et se reconstruire Dr Ch. FAURE – Albin Michel

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Paroles d'expert

Les différentes situations et les signes de mal-être sont traités sous forme de fiches thématiques. En fin de chaque fiche, vous trouverez des aides possibles et une bibliographie

Anorexie

Expert : Xavier POMMEREAU

Auto-agression

Expert : David LE BRETON

Boulimie

Expert : Xavier POMMEREAU

Cocaïne et Crack

Expert : Laurent KARILA

Conduites à risques

Expert : David LE BRETON

Cyberjeux - Dépendance

Expert : Lucie GAILLEDRAT

Cyberdépendance

Expert : Lucie GAILLEDRAT

Dépression

Expert : Jean-Louis TERRA

Héroïne et Ecstasy

Expert : Laurent KARILA

Fugue

Expert : Xavier POMMEREAU

Psychotropes

Expert : Xavier POMMEREAU

Schizophrénie

Expert : Nicolas FRANCK

Suicide

Expert : Jean-Louis TERRA

Tentative de suicide

Expert : Xavier POMMEREAU

Trouble bipolaire

Expert : Elie HANTOUCHE

Violences : généralités

Expert : Hélène ROMANO

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